C’était dimanche 9 décembre, le dernier soir de la Fête des Lumières.
Il règne toujours un climat de joie et d’espoir lorsque les chandeliers à neuf branches (chanoukia) sont pleinement illuminés un peu partout en Israël. On chante, on rit, les petites flammes dorées dansent et brillent partout. C’est encore un miracle que l’on veut célébrer.
Alors, attendant le bus pour rentrer chez elle avec son jeune époux, une jeune et belle jeune femme de 21 ans, enceinte de 30 semaines se retrouve subitement à terre dans un bain de sang, grièvement blessée, après que des terroristes palestiniens aient tiré sur elle de leur voiture, voulant surtout « faire un carton » sur la jeune femme enceinte, et par la même occasion atteignant six autres personnes aux jambes, parmi lesquelles son jeune époux.
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Aux urgences, les médecins décident de pratiquer une césarienne et le bébé naît très prématurément, c’est la seule solution pour pouvoir opérer sa jeune mère gravement blessée par balle au bassin et aux membres inférieurs.
Motus depuis dans la presse française. Le bébé vient de mourir ce soir. Mais c’est un bébé israélien. Ce n’est pas un bébé de Gaza. Alors…
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